L'Essonne, une histoire de grandes réussites

Ancien bastion des pilotes alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, notre département a l’aviation dans son ADN industriel. Avec l’Ile-de-France en tête de peloton pour l’aéronautique en national, et l’Essonne qui ne fait qu’amplifier cette tendance, c’est un secteur qui décolle à toute vitesse. Trois zones majeures d’emploi aéronautique, Paris-Saclay, Grand Paris Sud et Grand Orly Seine Bièvre, sont des foyers de plus de 2000 emplois chacun, regroupant plus de 300 entreprises et 15 000 salariés au total.
Intégrer cette filière, c’est entrer dans un réseau dynamique, avec des poids lourds comme Safran, Thalès, Senior Calorstat, Bowen, Rhinestahl et une multitude d’autres acteurs à tous les niveaux de la chaîne. Pour les aspirants du ciel, l’Essonne est une piste de décollage. Des écoles prestigieuses comme Polytechnique, CentraleSupélec ou Campus Fab forment la relève de l’aéronautique et l’aérospatial. Et l’innovation ne fait que s’accroître, avec des initiatives comme la transformation de l’ancienne base aérienne 217 en terrain de jeu pour les drones, portant les couleurs de la mobilité durable.

Ici, les étoiles ne sont pas inaccessibles. Des start-ups audacieuses comme Exotrail, Opus Aerospace, ThrustMe et bien d’autres ont choisi l’Essonne comme tremplin pour briller dans le ciel de l’innovation. En Essonne, vos ambitions prennent leur envol vers de nouveaux horizons !

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Avec 732 exploitations agricoles recensées en 2020 et près de 45% de sa superficie dédiée à l’agriculture, l’Essonne est un territoire résolument engagé pour le développement de la filière AgTech-FoodTech.

Entouré d’écosystèmes d’innovation majeurs, ce domaine n’échappe pas aux avancées technologiques portées par les acteurs du département. Ici, deux fermes connectées sont implantées : la Digiferme d’Arvalis à Boigneville et la ferme pilote innovation à Boutigny-sur-Essonne.

Par l’utilisation de nouvelles technologies comme des capteurs mesurant l’eau dans le sol en temps réel, des stations météo connectées ou encore des robots désherbeurs, ces établissements soutiennent l’évolution de la pratique des métiers de l’agriculture.

La présence d’AgroParisTech (et de son incubateur « Food’InnLab ») ainsi que de l’INRAE (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) font de l’Essonne un territoire pionnier en matière de R&D dans ce secteur. Portées par des enjeux de transition écologique et de durabilité, de nouvelles start-up émergent, avec pour objectif d’innover dans le domaine de l’alimentation durable. C’est ainsi que sont nées des entreprises comme Ynsect (l’un des leaders mondiaux de la production d’ingrédients à base d’insectes pour l’alimentation des animaux, des hommes et des plantes), Yeasty (production d’un ingrédient protéiné élaboré à partir de levures de bière à destination des industriels de l’agro-alimentaire) ou encore Umiami (production de filets végétaux alternatifs aux protéines animales).

En Essonne, il y a matière à créer de belles histoires de vie à l’image des success stories locales, si inspirantes qu’elles participent à façonner l’histoire d’un département acteur du changement.

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L’Essonne, berceau historique des biotechnologies, a écrit les premières lignes de cette saga dès les années 1950. Pionniers audacieux, les acteurs essonniens ont tracé la voie du progrès avec la création de l’AFM Téléthon et du Genopole, premier biocluster français. Ces jalons marquent le début d’une épopée d’excellence.

Aujourd’hui, cette épopée se poursuit avec une énergie renouvelée. Le pôle Paris-Saclay, joyau technologique en devenir, renforce la spécialisation de notre département comme référence mondiale. L’Université Paris-Saclay brille dans le domaine de la recherche, se hissant à la 12ème place du classement de Shanghai, et occupe une position de premier plan en France dans le secteur des biotechnologies.

La filière santé du cluster Paris-Saclay, véritable cœur battant de l’innovation, attire les esprits brillants et les créateurs de demain. Avec près de 100 établissements, 350 laboratoires et 15 000 emplois, elle incarne l’avant-garde de la recherche biomédicale et représente 15% de la recherche nationale et 40% des emplois de la recherche publique et privée d’Ile-de-France. Soutenue par le programme France 2030, qui investit plus d’1,2 milliard d’euros dans le Paris-Saclay Cancer Cluster, notre quête scientifique prend un nouveau tournant.

Universités, laboratoires, pôles de compétitivité : tous convergent vers un même objectif, celui de propulser l’innovation. En Essonne, les secteurs pharmaceutiques, medtech et instrumentation s’épanouissent dans un écosystème fertile. Ici, grands noms et start-up émergentes comme LFB, Servier, Sanofi, Sensome, WhiteLab Genomics ou Quantoom Biosciences se mêlent dans une danse engagée de créativité et de découverte.

En Essonne, l’attractivité économique est le fruit d’un collectif d’acteurs engagés, prêts à repousser sans cesse les frontières de la science.

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Au cours des dernières années l’Intelligence Artificielle a connu un déploiement extrêmement rapide dans la santé, l’industrie, la sécurité, les véhicules autonomes, le langage … L’I.A. contribue à ouvrir une ère inédite grâce à une capacité de diffusion extrêmement rapide dans tous les domaines professionnels, personnels, sociétaux …

Les prévisions n’hésitent pas à envisager un taux de croissance du marché mondial annuel de l’I.A. de 35 % jusqu’en 2030.

L’Essonne participe à cette stratégie et compte au nombre des territoires de référence.

Sa capacité à contribuer à écrire l’histoire de l’I.A. demain, l’Essonne le doit à l’écosystème de Paris-Saclay qui compte plus de 1 200 chercheurs et enseignants issus de plus de 40 laboratoires

L’Université Paris Saclay et sa première place mondiale en mathématiques constitue la pierre angulaire scientifique du système local.

Polytechnique, CentraleSupélec, l’ENS proposent des formations spécifiquement dédiées à l’I.A. Le CEA, l’INRIA, l’IRT système X, l’Institut DATAIA ou encore Systématic complètent cet écosystème de premier plan.

Tous vont constituer un vivier de talents pour faire avancer la recherche, ouvrir de nouvelles voies à l’I.A. de demain et nourrir les attentes des acteurs économiques.

C’est la volonté de rejoindre cet écosystème stratégique dans un contexte de concurrence forte au niveau mondial qui a largement motivé l’implantation de grandes entreprises comme IBM, EDF Lab ou encore Thales.

Des start-ups qui développent des technologies pour des marchés applicatifs comme Sensome, Innovplus, Ivalua, Isoft … démontrent la capacité d’innovation de l’écosystème et la diversité des opportunités professionnelles qu’il propose.

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L’Essonne bénéficie d’un écosystème de pointe dans l’optique-photonique et dans ses principaux marchés applicatifs que sont l’aéronautique, la défense et les télécommunications.

L’optique-photonique représente au niveau national 80 000 emplois et est au centre des transformations digitales qui construisent le numérique de demain, et notre monde.

Elle est au cœur des Deep Tech avec des marchés applicatifs novateurs où la rupture technologique trouve un point d’appui essentiel dans l’optique photonique : le quantique, la 5G (bientôt la 6 G), l’Internet des objets … mais également les biotechnologies, le quantique ou encore l’AgTech.

L’optique-photonique constitue une des filières industrielles du département avec la présence de 60 % des acteurs franciliens – 30 % des acteurs nationaux et un point d’ancrage, Systematic, l’un des pôles de compétitivité majeur à l’échelle nationale.

L’Essonne doit ce beau récit à un socle scientifique de tout premier plan avec l’Institut d’Optique, l’Université Paris Saclay (elle diplôme environ 200 ingénieurs et 60 doctorants dans ces domaines par an), l’Institut d’Optique Graduate School (IOGS) forme environ 150 ingénieurs chaque année ou encore Polytechnique, CentraleSupelec, Telecom Sud Paris ou l’ENS.

L’excellence de ces formations, largement ouvertes à l’international, repose sur leur proximité avec des laboratoires liés à l’optique comme le CNRS, le CEA, III-IV Lab ainsi que des cathédrales technologiques comme le Synchrotron Soleil, le centre de nanotechnologies du C2N, le Laboratoire pour l’utilisation des lasers intenses (LULI) et le Laboratoire d’Optique Appliquée (LOA).

C’est l’accès privilégié à cet écosystème qui motive la présence de nombreux industriels comme Thales, Safran-Reosc, Nokia, Almae, Horiba … dont la place dans la compétition internationale est directement liée à l’accès aux innovations et aux talents.

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Le terme quantique fait partie de ces mots magiques et mystérieux qui portent en eux un très fort potentiel de rupture.

Concrètement cette technologie va ouvrir de nouveaux marchés et contribuer à façonner le monde de demain.

Les acteurs dominants du numérique investissent des sommes colossales dans ce domaine, imités par tous les grands Etats, dont l’Europe et la France.

Le quantique est une source d’emplois très diversifiés et spécialisés dans ce domaine : ingénieurs, informaticiens, physiciens, développeurs … pour aller vers la création de près de 16 000 emplois d’ici 2030.

Cette réalité de demain se construit largement en Essonne qui dispose des composantes favorables pour en faire un des territoires de référence. En effet, 80% des plus de 1 000 chercheurs en quantique localisés en France sont concentrés sur Paris, Saclay et Grenoble.

Un des points d’ancrage du développement des technologies quantiques est Quantum Paris-Saclay qui regroupe notamment l’Institut d’Optique, CentraleSupélec, l’Ecole Normale Paris Saclay, l’Institut Polytechnique de Paris, et l’ENSTA. Il réunit près de 20 formations liées au quantique ainsi que 3 écoles doctorales.

L’autre support de ce récit Essonnien est constitué par la présence d’industriels de premiers plans comme Thales ou EDF pour qui la réussite de leur aventure quantique repose sur la proximité avec les centres de recherche et l’accès aux talents.

En appartenant au cercle très fermé des pépites nationales du quantique, Quandela et Pascal sont 2 startups qui symbolisent l’excellence de l’écosystème essonnien. Pasqal a été co-fondée par Alain Aspect, Prix Nobel de physiques et recherche activement 40 talents.

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